La Revue Boulonnaise, 4 Rue Jean-Baptiste Reveillon - 62126 Wimille - Siret n° 838 929 230 00012 - Code APE 9001Z - Arts du spectacle vivant - Licence 2-1113522
L' ARVUE PATOISANTE ED BOULONNE
Le mot du metteur en scène
Le mot du metteur en scène
Mettre en scène une revue c'est comme un coup de baguette magique, si du chapeau il ne sort ni lapin ni colombe pour faire rêver les spectateurs et éclater les rires, il faut, partant d'anecdotes réelles, plonger dans un monde imaginaire où tout devient éxagération et raillerie.
Se moquer de soi, des autres... Bref, un artiste ne doit jamais se prendre au sérieux !
L'ombre de tous ceux qui ont su émouvoir ou vous faire rire est là en coulisse... Alors que les trois coups retentissent et que la magie du théâtre opére... Rideau !
Dominique Pourre
Dominique Pourre à la mise en scène
Photo de S-dep
Valérie Sailly
Zabelle
Alain Raynaud
Batisse
Notre nouvelle Zabelle, beaucoup de tempérament, de caractère, différente de celles qui l’ont précédée elle incarnera une autre facette de la femme du marin.
Avec Batisse à ses côtés ils seront ce couple mythique qui est là pour sauvegarder l’aspect traditionnel et folklorique de la revue.
Bienvenue Zabelle, et continue à remettre en place Batisse, les commères voire les personnalités de Boulogne et des environs.
Depuis quelques années il est Batisse, avec sympathie il est souvent remis en place par Zabelle qui ne lui fait pas de cadeaux …
mais le couple s’aime depuis les bancs de l’école donc ça s’arrange toujours
Les chansons qu’il interprète avec brio nous plongent en plein coeur de la vie maritime boulonnaise.
Evelyne Jordens
Jocelyne Merlin
Jean Claude Wyart
Christian Meurdesoif
Que ce soit en paysan ou en commère, il joue juste et sa différence de taille avec Jean Pierre Coppin permet bien des moments de fou rire : ils sont rappelons le tandem comique de la revue. Il apporte à la folle équipe sa jovialité légendaire tant à la scène qu’à la ville.
Elle a de qui tenir ! Perfectionniste et toujours en train de surveiller les camarades afin qu’aucun ne rate son entrée, elle est sur scène tonitruante et aussi à l’aise en Béatrice (fille de Ch’guss) qu’en Chantal (ménagère de la cité Transition). Son caractère très fort se ressent aussi dans sa vie quotidienne : elle va toujours au bout des objectifs qu’elle s’est fixée sans soucis du qu’en dira-t-on.
Elle est la même à la scène qu’à la ville … toujours gaie et fantaisiste tant dans ses tenues vestimentaires que dans ses apartés : elle pétille comme le Champagne qu’elle apprécie de partager avec les copains dans les bonnes occasions. Aussi fidèle à son public qu’en amitié, elle est la seule à avoir été de toutes les revues depuis 1981 (première de J.Jarrett et Ch ’guss où elle a été recrutée).
Dernier rentré dans la troupe et pour cause : il a su relever le défi de remplacer au pied levé (et quel exploit) lors de la dernière édition Jean-marc Leprêtre (Batisse) souffrant : il a eu les textes à 10h pour jouer à 15h … un miracle ! dû à son expérience du métier. Il reprend une place qu’il avait quittée en 1979 pour d’autres horizons et reste l’acteur de toutes les situations.
Christine Gosselin
Jean Pierre Coppin
Dominique Pourre
La Porteloise de la troupe (on le lui fait remarquer quelquefois dans certains sketches) elle joue la comédie à la Feydau et si elle a rejoint la troupe des Thibautins, c’est la revue et l’ambiance de l’équipe qui lui donnent cette joie de vivre. A la dernière de chaque édition, lors de l’enterrement, elle ne peut retenir quelques larmes … Elle fait mille choses dans la vie mais reste toujours disponible pour chacun.
Boulonnais pur et dur, issu d’une famille de la marine, il a toujours rêvé d’écrire pour la revue et grâce à Ch’guss qui lui a fait confiance, il y est parvenu. Il n’est pas toujours facile avec ses camarades lorsqu’il les met en scène mais c’est toujours pour le bien du spectacle. Dans la vie c’est un grand voyageur qui aime la convivialité et le contact avec tout le monde.
Du haut de son mètre 90, celui qu’on surnomme « el grand » fait rire chaque fois qu’il entre en scène sans avoir besoin « d’ouvrir es bouque » ; il le sait et il en use…
Dans la bouche de Marguerite, on peut mettre la critique de tout Boulogne et des environs.
Un peu cabot, dans la vie il aime être reconnu et n’hésite pas à tailler une bavette dans la rue avec qui ose l’aborder.